Qu’est-ce qui se trame ?
Les instances du football européen (UEFA) préparent un vote pour suspendre la fédération israélienne de ses compétitions.
La mesure viserait les clubs israéliens mais aussi l’équipe nationale dans les éliminatoires de la Coupe du Monde 2026.
Cette initiative s’inscrit dans un contexte de pression internationale, alimentée notamment par des experts de l’ONU demandant des sanctions sportives envers Israël pour des violations présumées des droits humains à Gaza.
Pourquoi certains veulent l’exclusion
- On invoque le précédent russe : après l’invasion de l’Ukraine en 2022, la Russie a été exclue des compétitions européennes.
- Pour certains, le maintien de la participation d’Israël normalise des actes reprochés sur le plan moral ou humanitaire.
- Des fédérations européennes (Norvège, Italie, etc.) ont déjà manifesté leur malaise à l’idée de jouer contre Israël.
L’intervention américaine
Alors que l’UEFA s’oriente vers la suspension, l’administration Trump est entrée en jeu pour l’empêcher.
Par l’intermédiaire du département d’État américain, des officiels comme Marco Rubio ont exprimé leur volonté de bloquer toute exclusion.
Des diplomates américains préventifs craignent les conséquences politiques et veulent s’assurer que le Mondial 2026 (USA-Canada-Mexique) ne soit pas perturbé.
Enjeux et points de tension
- UEFA contre FIFA : même si l’UEFA suspend Israël, cela ne garantit pas que la FIFA emboîte le pas. Le rôle de cette dernière devient crucial.
- Qualification 2026 : une suspension pourrait exclure Israël des éliminatoires européennes.
- Débat sur le sport et la politique : certains affirment que le football ne doit pas se mêler de géopolitique, d’autres estiment que le sport doit répondre aux violations des droits humains.
- Pression diplomatique : les États-Unis veulent éviter un effet domino ou un précédent que d’autres nations pourraient suivre.
📝 3 choses à retenir
- L’UEFA prévoit un vote pour suspendre Israël de ses compétitions, notamment les éliminatoires de la Coupe du Monde.
- L’administration Trump intervient activement pour empêcher cette exclusion, via des pressions diplomatiques.
- Même si l’UEFA adopte la mesure, la FIFA doit encore décider — le verdict final pourrait venir du niveau mondial.











